VIIIème Bataillon
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

VIIIème Bataillon

Forum de la guilde VIIIème Bataillon (Warhammer Online-Har Ganeth)
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Coffret dresseur d’élite ETB Pokémon EV06 Mascarade Crépusculaire
56.90 €
Voir le deal

 

 Être un elfe peut être une malédiction...

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Dalariel
Vétéran
Vétéran
Dalariel


Messages : 65
Date d'inscription : 22/09/2008
Age : 37

Être un elfe peut être une malédiction... Empty
MessageSujet: Être un elfe peut être une malédiction...   Être un elfe peut être une malédiction... Icon_minitimeLun 22 Sep - 19:39

Pseudo Ingame : Dalariel

Classe : Lion Blanc

Race : Elfe

Niveau : 11

Âge Irl (ca ne jouera pas dans la candidature): 21

Votre expérience en terme de MMO : Maintenant ça peut être une honte, mais croyez moi au tout début il y avait du bon, World of Warcraft et Burning Crusade. J'y ai joué 2 ans et demi.

Votre expérience du Roleplay (JDR sur table, MMO, RPG-littéraire, etc...) : Donjons et Dragons, et jeux de rôles maisons crées par des amis à moi afin d'affiner certaines carences des jeux originaux.

Quel est votre livre de chevet? (si il y en a un.) : Ce serait plus une BD: Blacksad, sinon en livre c'est l'Ecume des jours de Boris Vian.

Une petite présentation du personnage que vous incarnez IRL (Héhé! *fier de sa blague* Héhé!): Jeune étudiant de Science Politique qui rêve d'un avenir journalistique.

Accepteriez-vous les ordres d'un Nain ou d'un de ces sales Elfes? : Il faut être pragmatique, les deux peuvent cogner, mais le nain peut frapper dans une zone, disons plus sensible... Donc oui pour les deux!

Que seriez-vous prêt à donner à moi-même ou aux autres Généraux pour avoir notre soutiens? : La sainte chope du grand et merveilleux Bugman dans laquelle la bière jaillit sans s'arrêter...

Comment avez-vous découvert notre guilde? : Mon frère (irl) cofondateur de ce site. J'ai vu cette guilde naître et le prérecutement qui s'opéra sur WoW et durant les jours de pré ouverture des serveurs...




Maintenant un court récit de ma vie:

Naître chez des êtres raffinés ne vous assure en rien un futur doré, enroulé des plus fines soies que les terres aient connues. Car les Elfes ont beau paraître des plus remarquables, ils ne sont pas moins capable des pires traitements, tant pour leurs ennemis, que pour leurs enfants. Car être un Lion Blanc n'est en rien un cadeau du ciel, mais plutôt une malédiction que chacun est plus ou moins apte à transformer en force.

Si mon visage et mon corps portent des cicatrices, elles ne me sont pas dues aux affres du temps, mais bel et bien du monde dans lequel on me jeta alors enfant. Mes aînés avaient terrassé une puissante lionne blanche des terres de Chrace et décidèrent de m'abandonner au milieu des lionceaux. Les petits étaient à peine sevrés, et je ne pu me nourrir uniquement que des dépouilles qu'ils ramenaient dans leur repère. Au prix de nombreuses blessures j'arrivais à manger et à prendre ma place peu à peu dans leur hiérarchie. Je grandis avec eux et appris leurs méthodes de chasse, leur férocité au combat mais aussi leurs craintes. A moitié sauvage et ne parlant presque pas l'Elfique, je vivais dans un état quasi sauvage jusqu'à mes 45 ans.

En effet, lors d'une chasse avec mes frères lions, le plus faible d'entre nous fut abattu par l'un de mes "frère elfique" et je fus capturé par ces braconniers. On me sépara des lionceaux avec qui j'avais grandi et parfis mon art de la guerre avec une rudimentaire hache de bucheron Elfe. Je n'appris que deux choses de ces personnes: la brutalité, lorsqu'ils m'empêchaient de retourner dans mes plaines de Chrace, et la langue elfique. J’exécutais des missions de pistage pour eux, afin de traquer du gibier et de régaler leurs semblables, mais je décidai de changer brutalement ma destiné.

Le gibier ne leur suffisait plus et en temps de guerre, les peaux des lions blancs se vendaient à prix d'or pour faire de riches fourrures résistantes aux flèches. Les braconniers voulurent alors que je chasse une meute de ces lions, de ceux qui m'acceptèrent et m'apprirent tant. Je partis à contre cœur en direction des refuges que je connaissais enfant et finis par trouver une magnifique meute de ces majestueuses bêtes. Je me tapis alors la nuit, dissimulé par les herbes et l'obscurité. Je me plaçai sous le vent afin de ne pas être senti par ces remarquables chasseurs. C'est alors que contre toute attente, alors que j'étais invisible, un lion d'une taille impressionnante me bondit dessus. Ma hache fut projetée à quelques mètres de moi et j'attrapais tant bien que mal le lion à la gorge afin d'éloigner au plus possible ma tête de sa gueule, ma vie allait s'échapper de mon corps quand je le reconnus, l'un des quatre lionceaux qui fit parti de la seule famille que j'avais possédé. Je le regardai alors dans les yeux avec la plus grande sérénité lorsque celui-ci referma délicatement sa gueule et se recula. Ses yeux bleus perçant me scrutèrent de bonnes heures, et firent jaillir en moi toutes ces images de chasse et de joie que j'avais partagées avec lui petit. Puis dans la lumière de la lune il partit rejoindre sa lionne et ses petits. Je restai là, immobile dans cette faible lumière nocturne avec cette vie qui me fut épargnée et ces souvenirs parcourant ma tête. Je rentrai alors chez les braconniers, me reposer de ma nuit et de mes émotions.

Cela faisait longtemps que mes rêves étaient obscurs mais cette nuit-ci, j'imaginais les plus beaux souvenirs que je connus auprès de mes frères lions. Lorsque je me réveillai, deux grands yeux clairs qui m’étaient si familiers me scrutaient allongé sur mon lit. Mais leur expression était différente, elle montrait la peur, la terreur. Je me levai alors brusquement et découvris que ce n'était pas une de ces magnifiques bêtes qui me contemplait mais uniquement une de leur tête déposée sur la chaise proche de mon lit. Je poussai alors un cri déchirant de rage et courus dans la grande salle de la bâtisse où j'aperçus alors le chef de ces Elfes occupé à compter les fourrures qui lui étaient déposées. Je les comptais alors et n'aperçus aucune fourrure d'un mâle dominant. Je m'approchai du supérieur elfique lorsque je fus projeté au sol par un braconnier qui s'esclaffa: " On a suivi tes traces quand tu es rentré cette nuit, et nous avons fait ton travail en "moissonnant" ces minables fourrures! ahahahaha" De rage je courus dans ma cellule, enfila mes vêtements et pris ma hache. Je chargeai alors la grande salle en direction de mon supérieur et lui assenai un seul et unique coup afin de pouvoir emporter sa tête. Sa tête vola avec la lourdeur d'une bouteille et vint s'écraser par terre. Je tuai le seul et dernier garde de la salle, récupérai mon macabre trophée qui avait roulé sur le marbre du sol, et m'enfuis en direction du repère des lions. Alors que j'étais en chemin, j'entendais les cris effrayant de la rage du mon frère lion qui avait alors tout perdu. Lorsque j'arrivai devant sa tanière, ses yeux bleus brillaient alors dans l'obscurité de son antre, braqués sur moi. Ces grognements déchiraient le silence de la nuit, sa soif de sang et de vengeance l'obsédaient. Je lui tendis alors la tête de mon ex-supérieur et lui jetai à ses pattes. Le lion blanc la broya alors dans un craquement sinistre. Je le regardai se délecter et savourai moi aussi la vengeance que je m'étais offert. Je décidai alors de redevenir sauvage, au côté de ce lion qui semblait vouloir me suivre. Nous avions tous les deux tout perdu pour finalement nous retrouver, nous étions maintenant unis par le même sang.

Le lendemain matin, un régiment entier vint me traquer pour venir attraper "le boucher" qui avait tué deux de ses soit disant "frères". L'archimage qui vint me parler me dit alors ceci: "Vous semblait être en communion avec ses bêtes féroces et composer avec eux. C'est d'Elfes comme vous que nous avons besoin pour terrasser avec violence nos ennemis! Mais votre incapacité à vouloir vous contrôler vous rend tant dangereux pour nous que pour eux. Vous avec donc le choix: la décapitation ou l'enfer". L'enfer, je l'avais déjà connu, qu'est ce que ce vieil Elfe en costume impeccablement taillé pouvait en connaître. Je le regardai alors avec défi et lui annonça ma réponse dans un rictuce "l'Enfer". A ces mots mon frère lion se dressa et vint à mes côté, décidé à m'accompagner.

L'archimage répondit alors: "Bien, je vous envoie donc rendre visite aux généraux du VIIIème bataillon. Votre "enfer" commencera dès demain où vous serez envoyé sur le front".
Revenir en haut Aller en bas
Gulnin
Général
Général
Gulnin


Messages : 316
Date d'inscription : 14/09/2008

Être un elfe peut être une malédiction... Empty
MessageSujet: Re: Être un elfe peut être une malédiction...   Être un elfe peut être une malédiction... Icon_minitimeMer 24 Sep - 13:52

Yep l'gaillard ! Qu'tu es sauvage et qu'j'aime ça hehe (beau background Wink )

(Validé)
Revenir en haut Aller en bas
 
Être un elfe peut être une malédiction...
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
VIIIème Bataillon :: Administration et paperasserie. :: Candidatures - bureau d'inscription.-
Sauter vers: